Grandiloquent le Temps passe chancelant
dans une ode sans fin écrite au siècle 18
On a droit à la cloche d’airain faisant frémir l’oreille des mortels
Aux siècles qui s’entassent
Aux humains insensés qui s’oublient dans de viles richesses
Quand c’est l’âme qu’il s’agit de cultiver
Comme on fait des pensées
Et puis soudain on se frotte les yeux
On lit : O Temps suspends ton vol !
Pas de bol pour Lamartine pris par la patrouille qui traque les plagiats
O lac de 1817 reprend ce vers célèbre de cette Ode sur le temps d’Antoine Léonard Thomas (1732-1785)