Armée que nul tyran ne commande
Qui joue du luth
Aime l’allure poétique
Petit cheval dans le mauvais temps
Allant à l’ amble
S’amuse d’un écart de langage
Sur le papier et dans ses marges
Amoureux que leurs vers transcendent
Dans les Andes ou à Samarcande
Dans la forêt de Brocéliande
Poètes
Souffrez qu’ici on vous défende