LE FEU AUX POUDRES

Voilà qui mettra le feu aux poudres et déchaînera les cocotiers pensait ce diable de jeune homme en buvant des liqueurs aussi fortes que du métal fondu Voilà qui confirmait l’idée que tous les poètes sont des simulateurs de même que les chevaliers de l’Inutile montés sur une vieille carne pour l’amour d’une Dulcinée entrevue vingt-cinq ans auparavant sortant d’une église d’Alcala de Henares ce petit lieu de la Manche (la Mancha dans le texte d’origine) évoqué dans l’incipit le plus célèbre de la littérature universelle Pura vaina : pur mensonge dit (on s’en serait douté) ce diable de jeune homme qui met le feu aux poudres en secouant le cocotier

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