L’année a passé au galop, je n’ose pas la relire.
Mais il me plaît de noter qu’il y eût des passages dans l’espace et le temps qui nous ont donné une revivifiante vertu.
Et précisément, en vallée d’Aure, à Toulouse (O Toulouseu), à Brive la Gaillarde (dont le marché a été baptisé Brassens), à Chambon sur Lignon, sur les traces de ce cher Francis Ponge (Fenouil Préle ), à Seo de Urgel et à Copenhague.
Je m’arrête un dernier instant sur ces temps perdus désormais,cherchant volontairement à les oublier pour préparer 2026.
Lors, je souffle sur les cendres de l’an passé, me préparant à la venue du jour prochain, celui qui viendra en premier.
Souhaitant qu’au fond de l’inconnu nous trouverons, comme l’écrivait le poète des Fleurs du mal, du nouveau.
Nous voulons tant ce feu nous brûle le cerveau
Plonger au fond du gouffre, Enfer ou Ciel, qu’importe ?
Au fond de l’inconnu pour trouver du nouveau !
Charles Baudelaire
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