L’ÉTERNITÉ DU JOUR QUI VIENT

 






C’est un essai
Un gaspillage
De mots gratuits
De mots salés
Sucrés poivrés
Que n’aiment pas
Les sociétés
Platon le dit
Il faut chasser
De la cité
Tous les poètes
Les inventifs
Porteurs de muses
Et d’Odyssée
Platon a peur
De l’insensé
Qui le traverse
Du noir soleil
Du feuilleton
Des vies fictives
Filles du feu
D’un orphelin
De Reine Mère
Chants odelettes
Nos fantaisies
Nous font revivre
L’éternité
Du jour qui vient
Dans un poème
Renouvelé
 
 

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