
midi
Il n’y a personne
À l’entrée du petit bois de pin
Ni le héros de l’Odyssée
Ni Ponge l’antipoète
Il y a ce promeneur solitaire
Qui prose ces quelques vers
En regardant les aiguilles
Danser au vent léger

cher.es lecteur.trice.s
ne vous trissez pas
profitez de la grève générale
pour redonner à l’imaginaire
sa réalité
Bravo le poète photographe,ici aussi il n’y à personne seul le hangar de NOËL vient meubler le paysage.
Bises et. Bon confinement.Y
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Merci mes amis de l’ar(t)iège qui depuis leur maison voient en effet le hangar de mon père Noël…et bonnes balades vers les champs de las Naouzos.
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« Ici où se dresse une profusion relativement ordonnée de mâts séniles, coiffés de cônes verdoyants, ici où le soleil et le vent sont tamisés par un infini croisement d’aiguilles vertes ici où le sol est couvert d’un épais tapis d’épingles à cheveux végétales : ici se fabrique lentement le bois »
FP le carnet du bois de pins
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Merci pour cette citation judicieuse de Francis Ponge Comme le disait lui-même de son texte sur « la figue », j’avancerai l’hypothèse que le bois de pin « est une façon d’être qui correspond à une éthique et à un art poétique ».
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Merci cher Dorio de m’avoir conviée à la promenade
ici tout n’est que luxe calme et beauté
un doux chant sous nos pieds
Beaux jours à vous en méditation
😉
il m’est toujours très difficile de faire partir mes commentaires
je m’y prends toujours à six fois … c’est compliqué
😦
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Merci Maria Mais si je puis me permettre cette facétie…7 fois pour tourner et retourner votre commentaire ça devrait être encore plus éblouissant de beauté
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