J’ai écrit sur tout et sur rien
bien avant de t’avoir connue
Mais après ta mort
qui m’a laissé sur le c.
(pardon mon amour pour « le gros mot » suggéré)
Écrire pour continuer à vivre
est devenu mon viatique
ma p’tite folie
Plus que jamais
et dans la nuit
Je forge à ma manière ces Essais
Nés pour Montaigne aussi
de la mort de son ami La Boétie
Celui qui, à ma connaissance,
fut le seul vivant à appeler son épouse
ma semblance
Plus que jamais
Mes paroles ont semblance
d’un homme qui sème
sur un chemin
voué à l’effacement
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