Depuis quelque temps je soumets mes légers écrits à la voix artificielle qui sort de l’Ordi. Eh ! ma foi, elle s’en sort plutôt pas mal. Elle trébuche, bien sûr, ou se noie, dans mes textes toujours pas très catholiques. Mais dans l’ensemble -disons- j’apprécie son allant, son souffle, ses inflexions, et sa manière, toute féminine, de me réinventer. Martigues 23 mai 2022