MON ÉTINCELLE D’ÉTERNITÉ
J’offre aux morts dans mon âme en proie au choc des vents
Leur souvenir accru de l’oubli des vivants
Victor Hugo
Tu es désormais cette étoile morte depuis dix mille ans, mais qui éclaire toujours comme aux plus beaux jours. Cette nuit, je te lis Hugo, en buvant du lait chaud avec un peu de miel. Tu t’appelles Léopoldine Étincelle d’Éternité.
Un complément à Poèmes à ma morte L’Harmattan (2017)