Sur l’épaule d’Hugo le géant de nos Lettres
J’écris sur le papier des lettres avec des rimes
Adressées à Victor à l’homme de l’abîme
Allant de cimes en cimes confronter le Néant
À l’Être
Jean Jacques Dorio Un poème inédit par jour
Sur l’épaule d’Hugo le géant de nos Lettres
J’écris sur le papier des lettres avec des rimes
Adressées à Victor à l’homme de l’abîme
Allant de cimes en cimes confronter le Néant
À l’Être
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Je lis des vers d’Hugo le géant de nos Lettres
Qui se montre surtout dans tout ce qui le cache
Criant Hé le géant ! Hé l’homme de l’abîme !
Je lis ce cher Victor qui va de cime en cime
Un vautour qui me dit : Petit, les choses, sache,
Avec leurs dieux, ont des monstres pour ancêtres !
Tournés vers l’intérieur comme vers le lointain
Nos vers ont l’ambition d’être lus, entendus,
Avec l’œil et la feuille, sans sanglots superflus,
Entends d’Orphée la lyre qui rythme tes actions !
Entends écoute apprends pense ou sois imbécile
Veille ou dors Viens ou fuis Nie ou crois Prends ou laisse
Montre-toi cache toi Va t’en demeure Oscille
La liste est infinie des verbes qui t’oppressent
Et libèrent la part de folie sous sagesse
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