Les barricades mystérieuses
L’étrange étranger
La nostalgie de l’instant
L’éphémère paradis
Le bois flotté
L’aurore de paroles
Le je-ne-sais-quoi
Le presque-rien
La Môme Néant
Le lézard amoureux
Le menu temps
L’enfance de l’art
Un commencement qui n’en finit pas
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Fut un temps où j’aurais demandé à mes lecteurs occasionnels d’ajouter une expression à ma liste; mais devant leur non réactivité, il y a belle lurette que j’ai cessé toute incitation de la sorte.
(J’espère toutefois qu’une lectrice, ou un lecteur pourquoi pas, vont intervenir pour me contredire.)
poésie mode d'emploi 
Les soupirs de la fée
Le train-train quotidien
La vie ailleurs
La folie des grandeurs
L’heure présente
Le fond de l’inconnu
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L’inconnu qui salue bien bas les longs et douloureux cortèges
Et qui ne se rappelle pas qu’il a soixante-quinze berges
Léo Ferré (C’est l’homme)
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Les cœurs purs
La Zizique à poil
Les papiers du Poète
La mémoire et la mer
Le chant de la fureur
Les poètes de sept ans
Des caresses qui blessent
La messe noire à l’église
L’introduction à l’anarchie
Le cœur mangé par la cervelle
Le tic-tac monstrueux de la montre
Le requiem de Mozart et ses danses macabres
El lagarto y la lagarta con delantalitos blancos
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Les barricades mystérieuses : un coup pour rien mais grand
L’étrange étranger : un nez camus mais à bien sentir
La nostalgie de l’instant : le lendemain sourire mais ce n’est plus çà
L’éphémère paradis : des enfants mais sur les boulevards
Le bois flotté : qui l’a vu mais oui robinson et zoé
L’aurore de paroles : dans le vieux parc mais qui l’a entendue
Le je-ne-sais-quoi : et presque rien mais bien ensemble
Le presque-rien : pour sûr mais sans responsabilité
La Môme Néant : encore une mais Nini petit brouillard
Le lézard amoureux : petit tablier perdu mais sans larmes
Le menu temps : le tout compris mais sans rien boire
L’enfance de l’art : pour composer mais attendre le nouveau
Un commencement qui n’en finit pas : OUI mais tout est fini
MICHEL CHALANDON
https://poesieafranquevaux3.blogspot.com/
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