L’année a passé au galop, je n’ose pas la relire, mais je peux la revoir.
Il y eut des passages de « revivifiante vertu » : en vallée d’Aure, le long de Garonne de Toulouse au val d’Aran, de Brive la Gaillarde (dont le marché a été baptisé Brassens) à Chambon sur Lignon, de Seo de Urgel à la Tour Fenestrelle. Des temps perdus désormais que je cherche néanmoins à oublier pour ouvrir 2026.
Lors je souffle sur les cendres de l’an passé
me préparant à la venue du jour prochain
celui qui viendra en premier,
du fond de l’inconnu.
Nous voulons tant ce feu nous brûle le cerveau
Plonger au fond du gouffre, Enfer ou Ciel, qu’importe ?
Au fond de l’inconnu pour trouver du nouveau !
Charles Baudelaire
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