RIEN N’ÉTAIT ÉCRIT

Les choses de la langue

Or des signes fleuris

Un monument de mots

De morceaux ajointés

Ou qui se désassemblent

On arrive peu ou prou

Au but à l’épilogue

Au bout de ce chemin

Fragile et incertain

C’est le temps des adieux

D’une vie singulière

Où rien n’était écrit