À CONSOMMER NI TROP NI PEU



Faut pas en dire plus
Cacher les mots sous la cendre
Son crâne rempli de poèmes
(Une image de Maïakovski)

Faut dire adieu à la rime
À la vision crépusculaire
Rencontrée sur le boulevard du Crime

Faut dire Adieu à Nerval
Retrouvé pendu à un réverbère
Rue de la Vieille-Lanterne

Faut en finir avec la desdicha
-le mal/bonheur-
et le desassosego
-l’in/tranquillité-

Ou bien les consommer
Ni trop Ni peu