Je prends le crayon dans la cheminée
Je pends l’inspiration à la crémaillère
Je prends un temps infini pour peser chaque vers
Ou tout au contraire je fais dans le burlesque
Et l’abracadabrantesque
Je prends patience sous le fouet cruel de l’Histoire
Et en fin de « conte » je prends la voix des airs
La voie libre des poèmes que l’on écrit par cœur