Belles ces déesses de sable
éphémères au bord de la mer
a las cinco de la tarde à Fos sur mer
l’une grande aérienne
un diamant en son pubis
l’autre née d’un délire-délice
« Oui ! Grande mer de délires douée,
Peau de panthère et chlamyde trouée
De mille et mille idoles de soleil,
Hydre absolue, ivre de ta chair bleue,
Qui te remords l’étincelante queue
Dans un tumulte au silence pareil »
et pour vous Maria la version de Jorge Guillen
qu’il faut naturellement dire mâcher ruminer
et qui me parle plus que le poème original
de Paul Valéry
« Ya no es el mar del comienzo del poema,
agua luminosa, apenas parpadeante,
es el gran mar « de délires douée »,
de piel de pantera y clámide antigua,
« trouée » por las mil imágenes del sol,
hidra liberada, ebria, mordiéndose la cola
para indicar lo finito, en un tumulto
que la continuidad y la monotonía del rumor
hacen semejante a un silencio prolongado. »
Je pourrai rechanter la mémoire et la mer! mais ce ne serait pas très raisonnable
mais le cœur y est ! la marée je l’ai dans le cœur, et la mer me manque! alors ta déesse est bienvenue, pour une visite impromptue! permets que je la garde chez moi! :))
Estourelle
Belles ces déesses de sable
éphémères au bord de la mer
a las cinco de la tarde à Fos sur mer
l’une grande aérienne
un diamant en son pubis
l’autre née d’un délire-délice
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avec le roseau
zig zag zag zig
comme disait Miró
et de « délires douée »
un vers de Valéry
« Oui ! Grande mer de délires douée,
Peau de panthère et chlamyde trouée
De mille et mille idoles de soleil,
Hydre absolue, ivre de ta chair bleue,
Qui te remords l’étincelante queue
Dans un tumulte au silence pareil »
et pour vous Maria la version de Jorge Guillen
qu’il faut naturellement dire mâcher ruminer
et qui me parle plus que le poème original
de Paul Valéry
« Ya no es el mar del comienzo del poema,
agua luminosa, apenas parpadeante,
es el gran mar « de délires douée »,
de piel de pantera y clámide antigua,
« trouée » por las mil imágenes del sol,
hidra liberada, ebria, mordiéndose la cola
para indicar lo finito, en un tumulto
que la continuidad y la monotonía del rumor
hacen semejante a un silencio prolongado. »
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Je pourrai rechanter la mémoire et la mer! mais ce ne serait pas très raisonnable
mais le cœur y est ! la marée je l’ai dans le cœur, et la mer me manque! alors ta déesse est bienvenue, pour une visite impromptue! permets que je la garde chez moi! :))
Estourelle
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