Laissons sibiler les serpents Qui a écrit ce vers ma chère Sibiler n’est pas syllaber Laissons syllaber les enfants Dans une école ensoleillée C’est le jour de l’épiphanie Dont il sort la fève nouvelle Ouvrez lecteurs ouvrez vos cœurs À la pulsation des ruelles Celles où les vers s’accumulent Sibyllins ou brodés d’écume Qui font sibiler les cœurs purs En chantant des songs sur un banc Leur bouche en cœur d’épiphanie
‘
Le premier vers est de Guillaume Apollinaire La chanson des cœurs purs de Jean Roger Caussimon musique de Léo Ferré
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Ils ne sont pas encore amis des notaires et des notables
Ils ne sont pas encore admis à diner le soir à leur tables…
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Oui, vraiment, la bouche en cœur,
pensant à la chère Maria Garcia Rey
qui enseignait el castellano aux collégiens,
cantando la ronda del silbidito :
el dia que yo me case a de ser a gusto mio,
« has(?) » de salir al balcon cantando pio pio pio pa pio
et le cœur en forme de fraise °.
° Louise de Vilmorin ?
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Apollinaire Les collines
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