Et le vieux tremble sa plainte sempiternelle Non le vieil homme mais l’arbre comme un peuplier Épinglé par Verlaine avec la Velléda Après trois ans je l’ai appris il y a longtemps Par cœur comme il se doit pailletant chaque vers D’un accent à couper au couteau occitan Le monde sans pareil ne portait qu’un Soleil : l’enfance d’un élève qui croyait en l’école À ses vieilles ballades aux contes du passé La bouche en cœur sur les valeurs républicaines Il poussait chaque jour la porte du progrès Aujourd’hui c’est fini le monde n’est plus en quête D’absolue modernité Chacun tire à hue Et à dia poussant sa plainte sempiternelle
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Oui, mais
« Les roses comme avant palpitent ; comme avant » *
« rompant ce que la nuit lie »**
*Verlaine
** Jaccottet
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