Le livre, je ne sais plus où je l’ai rangé parmi les autres livres ou bien à une place inaccessible pour les mortels.
C’était un livre sur l’absence, un livre sur la présence de nos absents dans le chant d’un oiseau par exemple, une expression perdue ou ce petit coin de jardin où repoussent chaque printemps nos iris.
Voilà et dernière précision c’est toi qui l’avais écrit ce putain de livre qu’il faudrait absolument que tu retrouves, mort ou vif.