UKRAIN’SPLEEN

J’ai (encore) rêvé de Poutine, crapaud grotesque qu’un enfant ukrainien, traînait au bout d’une ficelle.

J’ai rêvé de cette potiche qui écrase les villes et les enfants comme s’ils n’existaient pas.

J’ai rêvé de cette merde que son peuple adule (à la télévision).

J’ai (aussi) rêvé de l’Idéal , qui avalait le crapaud, la potiche, et nous faisait oublier, l’espace d’une minute, l’Ukrain’Spleen.