Il se pourrait évidemment que de ces quelques accords jour après jour composés en silence aucune ligne ne subsiste
Aucune lumière particulière venant révéler ces quelques formes jetées sur le papier et nageant ensuite dans le bac de l’œuvre au noir
Mais cette idée de non-reconnaissance qui m’effleure ce matin rend encore plus évidente la nécessité de cette page
feuille d’azur qui s’en va au vent léger du bel oubli