Celui-là fut arraché d’un mur de Mai
D’un murmure sujet aux métamorphoses
D’une brèche joyeuse dans les pensées myopes
Celui-là n’était pas bégueule
Mais nu comme un vers dit par
une artiste en tournée dans les wagons blanc et or*
Et cet autre nous plongeait dans une histoire d’enfance
dont l’héroïne portait un nom bizarre
et le héros n’osait pas lui dire qu’elle était belle
Poèmes écrits sur les murs,
Dans les wagons du transsibérien
Sur les scènes de l’enfance
Poème qui s’en va
Sans parole dernière
Un bouquet d’immortelles dans sa tête
*André Breton
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