Nessun maggior dolore che ricordasi del tempo felice nella miseria
Dante Alighieri Inferno
Il n’est pire douleur que le souvenir du bonheur au temps de l’infortune
Ceux qui respirent parlent rêvent
Celles qui rêvent parlent respirent
Vivant libres aimant désirant espérant
Celui qui vorace et triste enfermé dans son palais
A l’effrayant pouvoir de déclencher la guerre
D’envoyer ses soldats ses bombes et ses tanks
Ceux et celles qui respiraient parlaient rêvaient
Vivant libres espéraient aimaient désiraient
Nos frères et nos sœurs soudain vivant l’Enfer
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