Poésie : un arc un souffle une voix
Un rien de rien un battement d’exil
Jamais assez de ses blessures et de ses joies
De son temps qui n’est pas celui du calendrier
et ne s’inscrit sur aucun écran d’ordinateur
Elle procède par bonds et par replis
Les semelles de vent Le coude sur la table
Innocente mendiante pauvre première venue
C’est pourtant l’humaine mesure
dans le monde délabré d’aujourd’hui
Paroles dorées paroles timides paroles des places
où elle donne du sens aux mots de la tribu
la mort l’amour la liberté
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