Avec des mots qui crient
J’en ai fait des poésies
Ou j’ai cru en faire
C’étaient mes temps premiers
De mes rages An Rage
Un forgeron ivre
Avec trop de fers au feu
Nul regret cependant
« Non rien de rien »
Comme dit la chanson
Mais l’adieu à la bouche d’ombre

les jours échappent et aussi bien se reprennent et aussi bien l'An Rage