Je passe chaque nuit, après un premier somme, une heure éveillé à lire, penser, rêver et, « dans la foulée », écrire sur le papier, « le fugitif, le mystérieux » et l’infini d’une heure soumise aux métamorphoses. Bri/Collages subtils ou grossiers, ajoutages, qui donnent l’impression, en fin de « conte », que mon heure n’a pas eu lieu.