Je passe chaque nuit, après un premier somme, une heure éveillé à lire, penser, rêver et, « dans la foulée », écrire sur le papier, « le fugitif, le mystérieux » et l’infini d’une heure soumise aux métamorphoses. Bri/Collages subtils ou grossiers, ajoutages, qui donnent l’impression, en fin de « conte », que mon heure n’a pas eu lieu.
Ce passage a déjà la qualité d’un fragment de journal nocturne : une écriture qui se tient dans cette zone flottante entre veille et sommeil, où la perception du temps se distord.
On y sent trois dimensions mêlées :
On retrouve le geste de vos « bri/collages » :
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