À TORT, OU, À RAISON, je recopie ce début qui m’est venu, sans suite.
À tort, ou, à raison, me voilà accumulant les virgules. Il doit bien y avoir une raison.
Mais je préfère l’ignorer.
À tort, ou, à raison, ce que j’écris, là, est parfaitement lisible, du moins, en surface.
Tiens, comme les feuilles tombent sur les feuilles, dernier dimanche d’octobre.
À tort, ou, à raison, sous l’apparente hésitation, la réelle simplicité.
Sous le haïku, (négligé), les feuilles d’or de mon abricotier ;
je les ai vues, ce matin, 25 octobre 2020, se détacher.
À tort, ou, à raison, rien que des événements mineurs, en somme.
Si ce n’est, qu’en l’écrivant, mon esprit espiègle se souvient de Jean Mineur Publicité,
Balzac 0001.
À tort ou à raison, argent comptant, fausse monnaie ?
À raison ou à tort, mon texte est achevé.
