Je ne fais jamais de brouillon mais ce texte qui s’écrit sans foi ni loi ne viendra peut-être jamais au jour. S’il apparaît quelque part, en numérique immédiatement, ou plus tardivement, et de manière bien plus rare, sur la page d’un livre, ça voudra dire qu’à partir de ce texte qui n’est pas un brouillon, mais une ébauche, une esquisse et même parfois, « tel quel » le texte sorti du premier jet…ça signifiera que le texte a été revu, recopié, transféré des doigts sur le stylo aux doigts sur le clavier du traitement de texte.
Brouillon, bouillon de culture, comme le titre d’une célèbre émission de télé.
Brouillon pour bouillon, je préfère le Bouillon Racine.
C’est toute une histoire d’Art déco et d’os à moelle.
C’est toute une rue qui se termine avant la place du théâtre de l’Odéon,
par la Librairie-Galerie Racine qui édita Une minute d’Éternité.
La photo ci-dessous en fait foi.
Décidément depuis que les brouillons fétiches d’écrivains ont disparu…tout est permis !
édité l’an 2008…et déjà disparu…mes livres de poèmes sont une espèce en voie d’extinction
"Si notre cœur était assez large pour aimer la vie dans son détail,
nous verrions que tous les instants sont à la foisdes donateurs et des spoliateurset qu'une nouveauté jeune ou tragique,toujours soudaine,ne cesse d'illustrerla discontinuité essentielle du Temps"Gaston Bachelard
Je ne fais jamais de brouillon mais ce texte qui s’écrit sans foi ni loi ne viendra peut-être jamais au jour. S’il apparaît quelque part, en numérique immédiatement, ou plus tardivement, et de manière bien plus rare, sur la page d’un livre, ça voudra dire qu’à partir de ce texte qui n’est pas un brouillon, mais une ébauche, une esquisse et même parfois, « tel quel » le texte sorti du premier jet…ça signifiera que le texte a été revu, recopié, transféré des doigts sur le stylo aux doigts sur le clavier du traitement de texte.
Brouillon, bouillon de culture, comme le titre d’une célèbre émission de télé.
Brouillon pour bouillon, je préfère le Bouillon Racine.
C’est toute une histoire d’Art déco et d’os à moelle.
C’est toute une rue qui se termine avant la place du théâtre de l’Odéon,
par la Librairie-Galerie Racine qui édita Une minute d’Éternité.
La photo ci-dessous en fait foi.
Décidément depuis que les brouillons fétiches d’écrivains ont disparu…tout est permis !
de la mer inépuisable de l’Odyssée d’ Ulysse et de Simbad de la mer inépuisable sur le roc ou le sable toujours recommencée* *Paul Valéry de la mer en péril continent de plastique des hommes prédateurs de la mer mon amour que nous avons tant aimée de la mer à tes pieds qui s’ouvre sur les rêves d’éternité de la mer retrouvée allée avec le soleil* *Rimbaud de la mer maternelle qui nous berce en son sein de la mer qui remue page blanche plage grise de la mer qui écoute les voix des trépassés de la mer de la lune qui jouait sur les flots* *Hugo de la mer qui fleurit le corps des enfants rois de la mer de mes filles qui en faisaient des châteaux de la mer assassine noire et rouge sang de la mer de tes nuits cet enfant d’Idumée que l’air du vierge azur affame* *Mallarmé de la mer des pensées du temps qui joue avec les dieux de la mer de l’Histoire avec sa grande hache* *la citation la plus répétée de Georges Perec de la mer du delta où se jette le fleuve Utopia de la mer de tes lèvres qui faisaient le sel de ma vie de la mer de ta mort Sirène au chant déchiré de la mer z’yeux fermés en ses derniers reflets