
Je relis le Spleen de Paris
De l’énigmatique étranger
Apatride et sans amis
Haïssant l’or comme nous Dieu
Mais comme il aime les nuages
qui passent…tout est pardonné.
La neurasthénie et le spleen
Se sont évanouis depuis
Du moins leurs mots mais par leurs maux.
(Un vers je l’avoue trop facile)
Le poète avait sa fierté
Son orgueil face à la Nature
« Enchanteresse et sans pitié »
Ses fleurs du mal étant flétries
Il se lança dans cette prose
Ivre de sens renouvelés
Relisez le spleen de Paris
Ses invitations au voyage
Offert à la sœur d’élection
Ses tulipes noires et ses dahlias bleus !