Le temps pour le poème
est l’arcane majeur
Le temps refiguré
dans une métaphore
Le temps désaliéné
« les promesses de l’aube »
brisées mais non perdues
dans un dire têtu
ni le même ni l’autre
Le temps des nuits entières
qui sonne sans raison
mais non sans résonances
L’horizon de lectures
d’une intranquillité
qui nous tue et rassure
Le temps qui nous murmure
La mémoire et l’oubli
L’amour des fatrasies
Et la sérénité

L’espace intime élargi par le temps de cette lecture. Merci.
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Merci pour l’ajout de cette petite maille « à partir » (partager)
Une tradition qui remonterait aux Mystères d’Éleusis!
Dans « la tessera » le poète ultérieur apporte ce qui, selon son imagination,
manque aux poèmes et poètes précurseurs pour ne pas rester « tronqués »…
La « tessera » était employée dans les cultes des mystères de l’Antiquité,
où la réunion de deux moitiés d’une poterie cassée
servait comme un signe de reconnaissance,
de « mot de passe »…
Harold Bloom
L’angoisse de l’influence
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